Il est l’heure aujourd’hui que je vous parle d’un roman qui m’a énormément touchée. Si je vous dis « Thierry Cohen », vous allez dire que vous n’en pouvez plus que je vous parle constamment de lui. Mais sachez que l’auteur a sorti récemment un nouveau roman et que oui, je risque de vous en parler encore longtemps, parce qu’il est tout simplement sublime !
Découvrir un roman de Thierry Cohen est toujours un moment particulier pour moi car je les ai tous toujours beaucoup aimés, j’ai toujours été énormément touchée en plein cœur par cet auteur et les mots, les émotions qu’il transmet dans ses romans.
Quand j’ai vu qu’un nouveau roman sortait, je me suis dit : « il me le faut ». Puis, après m’être renseignée, je me suis rendu compte que l’auteur venait en dédicace dans une librairie à 10 minutes de mon boulot. J’étais dans un état impossible. Je craignais d’y aller car qui n’a jamais eu peur de casser le mythe et l’aura qui entoure un auteur qu’il adore ? Mais en même temps, je ne pouvais pas louper une occasion pareille. J’y suis donc allée et ne vous inquiétez pas, le mythe ne s’est pas brisé, au contraire ! J’ai adoré entendre Thierry Cohen, l’écouter parler de ses autres romans, de cette passion qui l’anime. De l’entendre parler avec tellement de sentiments, presque de l’amour pour ces histoires qu’il a construites. Si vous avez déjà découvert un roman de l’auteur, vous saurez que chaque mot est superbement choisi, que les personnages, souvent brisés sont tous aussi attachants les uns que les autres.
Ce roman ne déroge évidemment pas à la règle vu que nous y découvrons Lana et Dylan, deux jeunes gens que la vie n’a pas épargnés. Les deux adolescents souffrent en silence, de maux physiques ou de maux psychologiques. Tout semble s’acharner contre eux, presque jusqu’au point de non-retour. Heureusement, il existe dans ce monde bien injuste, un établissement prêt à les accueillir : « l’académie des âmes abîmées ». Cet endroit est un mélange de Poudlard et de l’école de rêve dans laquelle on voudrait tous avoir eu la chance d’étudier. Les professeurs y sont soucieux des élèves et prêts à tout pour les sauver de leurs démons. Les camarades de classe ayant tous vécus des choses plus horribles les unes que les autres sont également des alliés de taille dans la reconstruction. Le décor y est presque idyllique.
Bref, si vous avez suivi attentivement le début de ma chronique, vous devez vous douter que l’auteur s’attarde à nouveau sur les brisures des personnages auxquels on ne peut que s’attacher ! Ce roman aborde une dimension psychologique, presque spirituelle. On apprend avec ces nouveaux pensionnaires à se délivrer des maux d’avant pour se concentrer sur l’avenir. On les accompagne dans ce travail au combien difficile !
Encore une fois, j’ai dévoré ce roman en à peine quelques jours ! Le final est insoutenable et on entre dans une partie presque thriller, avec un rythme intense. J’ai été très surprise par le retournement de situation ! Comme quoi, cet auteur arrivera toujours à me surprendre. J’avoue avoir déjà été très surprise par la thématique très Young Adult du roman. Mais j’ai plus qu’adoré découvrir cet auteur que j’apprécie énormément dans ce genre que j’aime beaucoup, mais qui n’a jamais été mon genre de prédilection ! Thierry Cohen apporte un vent de nouveauté sur le Young Adult, et ça fait plus que de bien !
Bref, je ne sais pas trop comment vous parler de ce roman. Je l’ai trouvé particulier, différent de ce que j’avais déjà découvert de l’auteur et pourtant tout aussi bon que les précédents ! J’ai l’impression de ne pas lui rendre justice mais je ne peux que vous conseiller de vous y attarder, de l’acheter, de le lire et vous serez aussi éblouis que moi par cet ouvrage ! Rien que pour ce titre merveilleux, cet ouvrage mérite de trôner dans votre bibliothèque !
Aaaaaaaaaah *___* J’ai bien envie de le lire ! C’est à cause de toi tout ça ! 🙂
J’aimeAimé par 1 personne
Ouiiii ! J’espère trop que tu auras l’occasion de le découvrir 🙂
J’aimeJ’aime
Trop envie de le lire!
J’aimeJ’aime
J’ai très envie de le découvrir mais en lisant YA dans ta chronique, ça me fait un peu peur d’un coup. Jusqu’ici ce genre ne m’a pas réussit.
J’aimeJ’aime